Accès direct à la carte de France interactive des voies navigables | |||||||
Lexique fluvial et batelier |
Les rivières et les canaux | Index alphabétique des rivières et canaux | Index des rivières et canaux par bassins | Index des rivières et canaux par types | M'écrire | ||
Pensez à visiter le (modeste) rayon librairie, conférences et animations.... | ...et les niouzes ! | ||||||
Cette page peut comporter des imprécisions, voire des erreurs. Merci à vous de me les signaler ! |
< voie d'eau précédente |
Canal du
Midi, |
|||
Depuis son inscription au Patrimoine de l'humanité par l'Unesco en 1996, le canal du Midi, surmédiatisé, a presque éclipsé tous les autres canaux, à commencer par celui dont il a été inspiré.
Image classique du canal du Midi : les fameuses écluses ovales. Ici, l'écluse double de Laval (Photo Kader Benferhat)
|
|||
Canal du Midi (Ci-après sont présentés le canal de jonction et la Robine de Narbonne)
|
|||
L'écluse, autrefois double, de Montgiscard (Photo Kader Benferhat) |
|||
Bassins
versants Sous-bassin Type de
voie d'eau Relie Origine
physique et administrative Extrémité
physique et administrative Altitude
du bief de partage (Naurouze) Sens
conventionnel de descente longueur Nombre
d'écluses (M : Méditerranée, G : Garonne) Gabarits Plus
long bief : Plus
court bief : Plus
hautes écluses : Moins
haute écluse : Temps
minimum de parcours |
Structure administrative
de rattachement Statut actuel Raisons de sa
construction Personnages à l'origine
de sa création Personnalités importantes ayant contribué à sa construction Préfiguration Conception Modernisation Freycinet Commencé en Mis en service en Concédé Repris par l'Etat Concédé Rachat par l'Etat |
||
À Toulouse, les lavandières lavaient le linge dans l'eau verte du canal du Midi (Coll. Lucile Dumesnil)
L'écluse des Minimes au début du XXe siècle
L'écluse de descente en Garonne, à
Toulouse. Un jeune Claude offre à l'éclusière le poème qu'il lui a
dédié... Son cartable est bourré de coup de poing...
À Naurouze, l'ancienne écluse n°1 Méditerranée reconvertie en déversoir
Le canal et l'écluse "Bayard" devant la gare Matabiau, à Toulouse. Le site a assez peu changé. Lors de sa mise au gabarit Freycinet, l'écluse a été déplacée de sa propre longueur vers l'amont et a récupéré la chute se celle de Matabiau qui la suivait à 280 m.
Autre vue du même endroit, avec une sapine montant l'écluse Bayard (Coll. Lucile Dumesnil)
Le même endroit sous un autre angle. L'écluse actuelle a été reconstruite, au cours des années 1970, entre celle de la photo et le bateau, et son bief inférieur a été approfondi, car elle a récupéré la chute de l'écluse suivante "Matabiau", neutralisée. Cette écluse, avec ses 6,20 m de chute,était la 5ème plus haute écluse Freycinet en France jusqu'à la mise en service, en 2011, de 4 nouvelles écluses sur le haut Rhône qui la relèguent désormais à la 9ème place.
L'écluse Bayard actuellement. À l'arrière-plan, la gare Matabiau. On ne peut qu'être admiratif devant le génie visionnaire de Riquet qui a fait passer son canal juste devant l'emplacement où allait s'édifier, un siècle et demi plus tard, la grande gare toulousaine... Riquet, il est vrai, a tout inventé... On trouve la même disposition à Carcassonne.
La porte de garde d'Ognon, à côté de Homps, au début du XXe siècle
L'écluse quadruple de Saint-Roch, à Castelnaudary
Belle vue, prise certainement depuis un autre bateau, de l'écluse quadruple Saint-Roch, à Castelnaudary, au début du XXe siècle.
La rigole de la Plaine au Laudot, au début du XXe siècle. À l'origine, c'était une petite écluse, la rigole étant conçue pour porter une petite navigation jusqu'à Revel. L'endroit n'a pas changé.
Le canal à Bram, au début du XXe siècle. Le bateau est une sapine du canal.
Le port de Capestang au début du XXe siècle (Coll. Lucile Dumesnil)
|
|||
Portrait de Pierre-Paul Riquet par Raymond Moretti (1997). Fresque de la place du Capitole, à Toulouse Remarques Classé en 1996 au patrimoine mondial de l'Humanité par l'UNESCO, le canal du Midi est une grande oeuvre humaine. Il ne faut cependant pas oublier que, de son propre aveu, Riquet s'est très largement inspiré de son prédécesseur Hugues Cosnier, auteur du canal de Briare (commencé en 1605, ouvert en 1642). Riquet a repris, en les améliorant parfois, à peu près tous les principes mis en pratique par Cosnier, à l'exception des aqueducs de fuite dans les maçonneries des écluses, ce qui est une des faiblesses de son canal. En revanche il est le premier à avoir fait passer des bateaux dans un tunnel (même si Cosnier avait songé à cette solution pour un des tracés envisagés entre la Loire et le Loing), au Malpas, non loin de Béziers. Convaincre les bateliers de s'engager sous terre ne s'est pas fait sans mal : une bonne prime au premier qui se déciderait a facilité les choses. Il a aussi mis en oeuvre le principe de l'aqueduc pour les bateaux, avec le pont-canal du Repudre, ce que Cosnier n'avait pas fait. Riquet n'est cependant pas l'inventeur du pont-canal : il en existait déjà un en Italie au siècle précédent, et en Bourgogne, les moines de Citeaux avaient déjà fait passer le petit canal de la Cent-Fonds par-dessus la Varaude, aux Arvaux, dès 1221. En fait, le coup de génie de Riquet est bien compréhensible lorsque l'on se trouve sur les lieux : c'est d'avoir eu l'idée d'aller chercher l'eau nécessaire à son canal au loin, dans la Montagne Noire, à l'extrémité sud des Cévennes, là où vient mourir le Massif Central. Là-haut, il a construit un monument pour l'époque : le premier grand barrage-réservoir, à Saint-Ferréol. (Détail amusant : le réservoir principal du canal de Briare est le lac du Bourdon, sur la commune de Saint-Fargeau (Yonne). Or, quel est l'équivalent occitan de "Fargeau" ? "Ferréol", eh oui ! Mais n'allons pas taxer Riquet de plagiat jusque dans le nom de son réservoir principal : l'étang du Bourdon, dans son état actuel, ne date que de 1905 !) Mis en service en mai 1681, six mois après la mort de son concepteur, le canal du Midi fut terminé et amélioré par Vauban lui-même, puis d'autres ingénieurs après lui. Les dernièrs grands ouvrages de ce canal sont l'ouvrage du Libron en 1855, le pont-canal de Béziers qui, depuis 1856, évite la dangereuse traversée à niveau de l'Orb, et, en 1985, dans le cadre d'une mise au gabarit Freycinet tardive, la pente d'eau de Fontsérannes, destinée à préserver, en la doublant, l'écluse octuple restée au gabarit d'origine. Cet ouvrage original qui n'a comme semblable que celui de Montech, sur le canal de Garonne, est cependant abandonné de nos jours, avec bien peu de chances d'être restauré un jour.
|
|||
Profil du canal du Midi (Schéma aimablement transmis par André Authier et son associaition ACAMPO) |
|||
Le canal à Herminis
L'écluse ronde d'Agde (Photo Kader Benferhat)
La même dans les années 1950, quand elle était encore vraiment ronde.
Le déversoir d'Argentdouble (Photo Kader Benferhat)
Castelnaudary (Photo Kader Benferhat)
L'écluse de Gardouch (Photo Kader Benferhat)
Le pont-canal de l'Hers (Photo Kader Benferhat)
L'écluse de Bagnas, juste avant le débouché du canal dans l'étang de Thau. L'allongement Freycinet est bien visible sur la tête aval.
|
|||
Ouvrages remarquables Système alimentaire Voies
d'eau adjacentes : Principales
villes traversées : Départements
concernés : |
|||
Système alimentaire du canal du Midi (Schémas aimablement transmis par André Authier et son association ACAMPO) |
|||
L'écluse octuple de Fonsérannes, près de Béziers
Un bateau-hôtel monte l'écluse octuple de Fonsérannes, en 2008. (Photo Kader Benferhat)
Une sapine du Midi chargée de vin monte l'écluse octuple de Béziers, entre les deux guerres. Elle semble motorisée, de même que celle de l'image ci-dessous.
Une autre sapine sort montante de l'écluse de Fontet, entre les deux guerres.
La pente d'eau qui double l'écluse octuple de Fontsérannes depuis 1985, trop peu utilisée, ici montant "Volta II", un automoteur de canal de gabarit Freycinet.
Le haut de la pente d'eau en 2005. Un état d'abandon inquiétant.
Les ouvrages du Libron, entre Béziers et Agde
Les ouvrages du Libron au début du XXe siècle (Coll. Lucile Dumesnil)
Le port neuf de Béziers et son écluse, créés en même temps que le pont-canal, en 1856
Le port neuf de Béziers au début du XXe siècle. Les bateaux sont des coutrillons.
Le pont-canal d'Orbiel (Photo Kader Benferhat)
La voûte du Malpas côté Béziers... (Photo Kader Benferhat)
à l'intérieur... (Photo Kader Benferhat)
et côté Toulouse (Photo Kader Benferhat)
Le Somail (Photo Kader Benferhat)
Tout près de la voûte du Malpas, depuis l'oppidum d'Ensérune, on peut voir la géométrie parfaite de l'étang de Montady, ancien marais asséché au XIIIe siècle par les moines cisterciens, et qui se vide en son centre par un aqueduc qui passe ensuite sous la voûte du Malpas, avant de rejoindre le ruisseau de Clavilongue, à 1300 m de là. (Photo Dane)
|
|||
Quelques images de Saint-Ferréol, dues à Gwenael Berg (1)
Sur la digue du barrage
Commande de la bonde
Rigole de ceinture de Saint-Ferréol
Chute d'eau de la rigole "des robinets"
Jeux d'eau au pied du barrage, appelés
localement "la Gerbe"
(1) Autre oeuvre majeure de l'auteur de ce site : son fils. |
|||
Le bassin de Lampy et la rigole de la Montagne, en décembre 2008 (Photos Vivian)
|
|||
Quelques photos d'André Authier, que nous remercions.
La prise d'eau d'Alzeau, à la Forge (Lacombe)
La voûte Vauban, aux Cammazes
|
|||
Attention,
bateau voyou !
|
|||
Un canal surmédiatisé à éviter à tout prix
en été
Il
ne se passe pas un mois sans que paraisse un "nouveau" livre sur le
canal du Midi, ou qu'une émission de télé lui soit consacré, tandis que
les autres canaux français font l'objet d'une quasi-indifférence. Et
ceci depuis son classement au Patrimoine Mondial de l'Unesco en 1996.
Le
résultat : un canal sursaturé pendant les trois mois de l'été, avec un
taux de fréquentation de 90 bateaux par jour à certaines écluses comme
Trèbes où on assiste à des scènes consternantes de foire à l'empoigne
pour passer en premier. Les éclusiers, à qui ces navigateurs
n'adressent pas un mot, même pas un bonjour, se contentent d'appuyer
sur les boutons de leurs télécommandes et se gardent bien d'aider ces
plaisanciers en leur prenant les amarres, ce qui pourtant hâterait
les choses. Et si certains se montrent accueillants et serviables dès
que la pression touristique se fait moins forte, d'autres conservent
cette attitude inhospitalière et donnent de leur profession et de leur
administration une image peu brillante.
Cet éclusier se tue à la tâche... Donc, si vous n'avez
que les mois d'été pour naviguer, allez donc sur un autre beau canal,
ce n'est pas ce qui manque en France.
|
(Au-dessus : le canal du Midi, en-dessous : la Robine de Narbonne) Canal de jonction du canal à celui de la Robine
|
|||
Ce canal de jonction met en communication la Robine de Narbonne avec le canal du Midi La rectitude quasi absolue du canal de jonction apparaît bien sur cette vue aérienne des années 1950. Au premier plan, l'écluse de Saint-Cyr (Editions Lapie)
|
|||
Bassin versant Sous-bassin Type de voie d'eau Relie Origine physique et
administrative Extrémité physique et
administrative Sens conventionnel de
descente longueur Nombre d'écluses Gabarit Temps minimum de parcours Ouvrages
remarquables Système alimentaire Plus long bief Plus court bief Plus hautes écluses Moins haute écluse |
Structure administrative
de rattachement Statut actuel Raisons de sa
construction Compagnie ayant financé
sa création Personnalités importantes ayant contribué à sa construction Préfiguration Conception Modernisation Freycinet Commencé en Mis en service en Radié Confié
à VNF
|
||
Remarques Le canal de Jonction est quasiment rectiligne. Sa réalisation est d'un siècle plus tardive que celle de la canalisation de la Robine présentée ci-après : la compagnie du canal du Midi freinait des quatre fers, craignant que le commerce sur son canal en souffre entre Sète et Truilhas. L'ouvrage de Gailhousty, par lequel ce canal entre dans l'Aude, est exceptionnel : il combine à la fois une écluse ordinaire, une écluse de garde, une cale sèche et un épanchoir surmonté de son bâtiment de manoeuvre. La qualité architecturale de l'ensemble est remarquable. (retour au texte)
|
(Au-dessus : le canal du Midi et le canal de jonction de Cesse à la Robine) Robine de Narbonne, ou "canal de la Nouvelle", ou "canal de Sigean", ou "canal de Sainte-Lucie"
|
|||
La Robine est un ancien lit de l'Aude, navigué depuis l'Antiquité, et réutilisé comme branche secondaire du canal du Midi. L'écluse de garde de Moussoulens
La même dans les années 1950. La connexion entre la
Robine et le canal de Jonction s'effectue par une courte section de
l'Aude soutenue par un barrage fixe, bien visible sur la photo. Le
canal de jonction arrive en amont du pont de chemin de fer, derrière
les arbres à droite. On devine son débouché.(Editions La Pie)
|
|||
Bassin
versant Type de
voie d'eau Relie Origine
physique et administrative de la partie navigable Extrémité
physique et administrative Sens
conventionnel de descente Longueur
de la partie classée navigable Nombre
d'écluses Gabarit Temps
minimum de parcours Plus long bief Plus court bief Plus haute écluse Moins haute écluse |
Structure administrative
de rattachement Statut actuel Raisons de sa
canalisation Compagnie
concessionnaire à l'origine de sa création Personnalités importantes ayant contribué à sa construction Préfiguration Conception Commencée en Mise en service totale en Radiée Confiée
à VNF |
||
Magnifique vue de la Robine à Sallèle d'Aude, au début du XXe siècle, qui nous montre deux miolles garonnaises chargée de sable, et à l'arrière-plan une barque de patron du canal.
|
|||
Ouvrages
remarquables Système
alimentaire Origine
du nom de la rivière Robine Origine
du nom de la rivière Aude |
Remarques Ce que l'on appelle la Robine de Narbonne est en fait un ancien lit abandonné de l'Aude. Les Romains (Agrippa ou Antonin le Pieux) l'avaient déjà canalisée. Il semble que cette Robine de Narbonne ait toujours été plus ou moins naviguée depuis l'époque gallo-romaine jusqu'au XVIIe siècle, de la mer à Narbonne. Le canal de Grazel Non loin de l'embouchure de la Robine dans la Méditerranée se trouve le canal de Grazel. Ce canal navigable relie l'étang de Gruissan à la mer. Il mesure environ deux kilomètres. Le canal du Roussillon Antoine de Niquet avait prévu de prolonger le canal de la Robine au sud, vers Rivesaltes et Perpignan, en utilisant les étangs de Lapalme et de Leucate. Seul subsiste aujourd'hui sa première portion à La Nouvelle, appelée localement "Canélou". La suite, jusqu'à l'étang de Lapalme, a disparu sous la rue... Antoine de Niquet et le chemin des Vignes. À l'autre extrémité, au sud de l'étang de Leucate, subsiste aussi un tronçon nommé "canal de St-Hippolyte". La jonction entre les deux étangs n'a jamais été commencée. Le contexte politique (paix avec l'Espagne), le manque de moyens financiers, l'opposition des héritiers de Riquet craignant qu'une partie du fret ne leur échappe, la concurrence avec les ports de Sète, Agde et La Nouvelle et la disparition de bâtisseurs de talent tel que Riquet, Vauban et Niquet, sont les raisons habituellement invoquées pour expliquer l'avortement de ce projet qui aurait relié Perpignan au réseau fluvial sans trop de mal. |
||
Liens
: Le
canal du Midi, site plutôt bien fait avec
beaucoup d'infos
|
|||
Deux vues de la Robine et de l'écluse de Narbonne au début du XXe siècle (champ et contre-champ). Remarquer le bateau-lavoir à côté de l'écluse. Dans la photo du haut, le Pont des Marchands est visible à l'arrière-plan.
L'écluse de Narbonne aujourd'hui. Le site a assez peu changé : l'écluse a été transformée au gabarit Freycinet, et le bateau-lavoir a disparu. La grève sauvage est devenue un square. Le Pont des Marchands, à Narbonne
L'écluse de Sainte-Lucie, au bout de la Robine. Au loin, la Méditerranée. (Photo de Danoo Carie. Voir son site)
|
|||
(Merci à André Authier pour les nombreuses précisions et rectifications) |
|||
Liens : Le canal du Midi, par Philippe Calas, un travail très sérieux sur le canal Le canal du Midi sur Wikipédia Voyage virtuel sur le canal du Midi Plein de photos (pas loin d'un millier) du canal du Midi, de celui de jonction et de la Robine Le canal du Midi en superbes aquarelles Le canal du Midi en péniche-hôtel (site du Porthos) La même chose à bord de Surcouf Durandal, automoteur de canal et chambres d'hôtes, à Portiragnes D'autres photos du canal, et surtout de son système alimentaire Les canaux du Midi et de Garonne Lien utile sur la ville de Narbonne La "Carte du Canal Royal de la Province de Languedoc", par François Garipuy, (1711-1782) Le canal du Midi est traité dans le guide fluvial n°7 des Editions du Breil Un diaporama sur le canal du Midi. (Il se baladait sur Internet, avec quelques erreurs et imprécisions. Votre serviteur l'a complété et corrigé) |
< voie d'eau précédente |
Accès direct à la carte de France interactive des voies navigables | |||||||
Lexique fluvial et batelier |
Les rivières et les canaux | Index alphabétique des rivières et canaux | Index des rivières et canaux par bassins | Index des rivières et canaux par types | M'écrire | ||
Pensez à visiter le (modeste) rayon librairie, conférences et animations.... | ...et les niouzes ! | ||||||
Cette page peut comporter des imprécisions, voire des erreurs. Merci à vous de me les signaler ! | |||||||
Retrouvez les bateaux de Gascogne et d'Aquitaine dans le CDrom "Bateaux des Rivières et Canaux de France", version très enrichie (plus de textes, plus d'illustrations, et même quelques bateaux supplémentaires) du département "Bateaux" du présent site, édité par l'association HiPaRiCa. Voir la présentation et la commande ici et ici. |